Classiques

La promesse de l’aube, Romain Gary

« Je croyais à la beauté et donc à la justice. Le talent de ma mère me poussait à vouloir lui offrir le chef-d’œuvre d’art et de vie auquel elle avait tant rêvé pour moi, auquel elle avait si passionnément cru et travaillé. Que ce juste accomplissement lui fût refusé me paraissait impossible, parce qu’il me […]

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Le maître et Marguerite, Mikhaïl Boulgakov

Ce livre est, aux premiers abords, difficile. J’avoue d’ailleurs qu’il m’aura fallu plus de 200 pages pour m’y attacher tant la multitude de personnages aux noms russes rallongés porte à confusion. Mais, une fois conquise, impossible de le lâcher. 12 ans de travail pour l’écriture de ce livre, c’est dire s’il est complet ! L’oeuvre

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Le ventre de Paris, Emile Zola

« Aveuglé, noyé, les oreilles sonnantes, l’estomac écrasé par tout ce qu’il avait vu, devinant de nouvelles et incessantes profondeurs de nourriture, il demanda grâce, et une douleur folle le prit, de mourir ainsi de faim, dans Paris gorgé, dans ce réveil fulgurant des Halles. » Le Ventre, c’est l’incarnation des Halles centrales de Paris. Le tome

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La ferme des animaux, Georges Orwell

J’ai eu envie de lire ce livre après avoir vu le film l’ombre de Staline qui dévoile l’Holodomor, un crime méconnu du régime communiste : il s’agit de l’extermination intentionnelle des Ukrainiens par la faim pour enrichir l’Union Soviétique de 1931 à 1933. En dévoilant ce pan de l’Histoire, le journaliste gallois Gareth Jones inspire

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Anna Karénine, Léon Tolstoï

Anna Karénine, chef d’oeuvre de la littérature russe, fait partie de mes romans préférés. Il nous plonge tout à fait dans l’univers de l’aristocratie russe du XIXe siècle, grâce à des personnages d’une richesse de personnalité incroyable et une écriture captivante. Tous, sans exception, nous accompagnent à la découverte de ce monde et même après

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La curée, Emile Zola

« La grande préoccupation de la société était de savoir à quels amusements elle allait tuer le temps. » La curée, c’est littéralement la portion d’une bête tuée laissée aux chiens de chasse. Pour Zola, c’est Paris sous Napoléon III, alors que le baron Haussmann dessine des avenues flambant neuves qu’une multitude de spéculateurs s’arrache. C’est la

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La fortune des Rougon, Emile Zola

« La révolution de 1848 trouva donc tous les Rougon sur le qui-vive, exaspérés par leur mauvaise chance et disposés à violer la fortune, s’ils la rencontraient jamais au détour d’un sentier. C’était une famille de bandits à l’affût, prêts à détrousser les événements. […] le père et la mère, les plus âpres peut-être, comptaient

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Aurélien livre

Aurélien, Louis Aragon

Aurélien, c’est avant tout une histoire d’amour. Un amour obsessionnel pour Bérénice, même si la première phrase du roman laisse présager le contraire : « La première fois qu’Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. » C’est l’histoire d’un amour improbable et impossible dans le Paris des années folles. Au milieu des paillettes et des illusions,

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