Ce roman commence par une citation de Prévert que j’adore et qui résonne tellement en moi :
« On reconnait le bonheur au bruit qu’il fait quand il s’en va ».
C’est l’histoire de Joris, 16 ans, qui rêve de devenir rugbyman. Longtemps choyé par ses parents, tout s’écroule quand il découvre que son père a une maîtresse et qu’il a lui-même un accident, mettant fin à ses rêves. Les séances de Joris chez le kiné seront ponctuées par sa rencontre avec Marine, qui lui propose un challenge de 21 jours pour être heureux. Bien que dubitatif, il se prête au jeu, n’ayant plus rien à perdre. Pour Martine aussi, sa mère, qui ne s’imaginait pas vivre sans son mari, c’est la douche froide. Elle tente elle aussi de se reconstruire, en quête de sens.
Ce roman sur la résilience est un livre qui fait vraiment du bien et une très belle histoire profonde et riche ! Il livre en plus des conseils pour avancer et ressortir grandi des épreuves de la vie. Et si nous voyions nos échecs comme une chance ? Au début, la perte de sens déstabilise totalement. Puis petit à petit, en acceptant sa situation et en se donnant les moyens d’être heureux, tout devient possible.
Bravo à toi Laëtitia, ma binôme, j’ai passé un super moment de lecture à tes côtés. Je reconnais bien ta patte et ton optimisme. Je suis admirative aussi de ta métamorphose et de ton courage, rien ne t’arrête ! Tu nous offres une vraie leçon de bonheur et une belle source d’inspiration ! Et longue vie à la belle nouvelle maison d’éditions Rêvolution.
« Chaque instant est un cadeau. Voilà pourquoi nous l’appelons le présent. » Moutiou Adeniyi
« Lorsqu’une porte se ferme, il y en a une qui s’ouvre. Malheureusement, nous perdons tellement de temps à contempler la porte fermée, que nous ne voyons pas celle qui vient de s’ouvrir » Alexander Graham Bell